Les White Sox de Chicago ont-ils réellement influencé le tableau des séries éliminatoires de l’AL ? Une brève analyse.

J’ai cette pensée depuis qu’elle a été évoquée il y a quelques semaines (crier Talkin’ Baseball). Maintenant que la saison régulière est pratiquement terminée, je voulais prendre un peu de temps et voir s’il y avait réellement une influence d’avoir littéralement la pire équipe de l’ère moderne dans votre division.

La séquence était la suivante : 1. Notez le dossier de chacun

1. Notez le bilan de chacun contre les White Sox (bien sûr, cet exercice est biaisé en faveur des équipes AL Central, mais juste pour uniformiser le terrain pour cette expérience)

2. Comptez le record de chacun contre des équipes inférieures à 0,500

3. Sachez que br n’a pas été mis à jour à 23h Central, alors utilisez précipitamment le >.500 de MLB et faites quelques calculs

4. « Corrigez » ce record inférieur à .500 en supprimant les matchs des White Sox et en déterminant leur pourcentage de victoires

5. Utilisez ce pourcentage de victoire multiplié par les matchs des White Sox – cela représente si chaque équipe, au lieu de jouer contre les pauvres Southsiders, avait joué contre une équipe moyenne inférieure à 0,500.

6. Utilisez toute différence de gains/pertes pour recalculer le record

Dans l’ensemble, et c’est pénible de le dire en tant que Citien du Kansas, nous pouvons dire que les Royals sont là grâce à leur match contre les White Sox. Sans eux, les Mariners se glissent dans la dernière place de Wild Card. La course magique des Tigres n’a pas besoin du soutien des Sox, ils y participent de toute façon. J’aime aussi cette chronologie dans la mesure où les Braves y participent, mais le programme double d’aujourd’hui compte toujours (!) dans la mesure où un balayage des Mets les placerait à la troisième place contre l’Arizona.

Je sais qu’il y a quelques lacunes, mais c’était quand même un exercice amusant. Pensées?

TL;DR : S’il n’y avait pas les White Sox, les Royals seraient probablement absents, les Mariners seraient présents et nous aurions probablement des voitures volantes. Mais c’est pourquoi nous ne pouvons pas avoir de belles choses.