Comment les White Sox en sont arrivés là

Jesse Rogers et Buster Olney faites équipe pour un morceau plus long sur quelques points clés de cette saison. Ils comprennent :

1. La connerie générale de Chris Getz en tant que directeur général, y compris tout ce qui est lié de loin à l’échange de Dylan Cease, ainsi qu’une apparente indifférence envers l’équipe par moments :

"Je pense que si tu m’avais dit qu’on allait finir par flirter avec le disque j’aurais été un peu surpris," » a déclaré le directeur général Chris Getz le 16 septembre. "Maintenant, si vous m’aviez dit avant l’année que nous nous serions retrouvés avec plus de 100 pertes, 105, 110, je n’aurais pas été aussi surpris. Mais ce sont les cartes qui nous ont été distribuées à ce stade."

Ouais.

1. La connerie générale du manager de la première journée, Pedro Grifol (qui semble également avoir hérité des problèmes d’abri de son successeur, Tony La Russa), des trucs comme ça à partir de 2023, la première année de Grifol dans son premier poste de manager :

Liam Hendricksalors lanceur vedette le plus important de l’équipe, est nettement extraverti : bruyant, amical, accessible aux médias et bavard. Trois sources organisationnelles affirment qu’un fossé s’est creusé entre Hendriks et certains des autres vétérans de l’équipe, à savoir les lanceurs. Kendall Graveman, Lance Lynn et Joe Kelly.

Et

Les divisions dépassaient également le cadre des lanceurs. L’ancien arrêt-court All-Star, Tim Anderson, a été embourbé dans une crise tout au long de la saison alors qu’il faisait face à des problèmes personnels en dehors du terrain et du receveur. Yasmani Grandal a été décrit par un ancien coéquipier comme quelqu’un qui "a détruit les gens au lieu de les construire."

"C’était un endroit aussi négatif que j’ai jamais vu," a déclaré une autre source du club.

Avec un manager débutant, l’histoire note au moins une source anonyme affirmant que les joueurs vétérans devaient s’auto-extirper de ce cancer, y compris d’eux-mêmes, et ont échoué.

1. Et bien sûr, le gars derrière tout cela, l’homme qui a eu l’idée de ramener sa meilleure amie La Russa en tant que manager et bien plus encore : le propriétaire Jerry Reinsdorf. C’est lui qui a évincé l’ancien directeur général Chris Hahn et le POBO Ken Williams (qui n’étaient pas parfaits, bien sûr) et a gardé Tony le Poney comme consultant après avoir accepté à contrecœur de ne pas le ramener en tant que manager.

Le TL/DR ? John Fisher a foutu une ville en l’air ; Jerry Reinsdorf a foutu sa propre équipe.